Résultat de recherche d'images pour

Quarante-troisième contribution PSP#Controverses: "presse ne pas avaler", "la police vous parle tous les soirs à vingt heures"... les étudiants des Beaux-Arts faisaient déjà en mai 68 assaut d'imagination et d'agressivité pour dénoncer la collusion entre pouvoir et médias et pouvoir, presse et Etat. Un demi-siècle plus tard, le mouvement des "gilets jaunes" est le théâtre d'une défiance accrue à défaut d'être inédite envers le (prétendu?) "quatrième pouvoir". A l'heure des conspirationnismes et autres complotismes, des infox et des médias (là aussi prétendus?) anti-système, quel regard porter sur une profession qui suscite rejet voire haine quand elle incarnait il y a peu encore incorruptibilité et bravoure? En bref: les journalistes, victimes... ou coupables? Ces questions ne pouvent que concerner les lycéens PSP, a fortiori ceux de leur journal L'Ordonnance.

Louis RUBELLIN (1L1 SED) rend ici compte de l'échange à distance sur ce sujet entre Géraldine Muhlmann (Paris 2 Panthéon-Assas), Alexis Lévrier (Université de Reims-GRIPIC), Vincent Lanier (SNJ-Le Progrès) et Jean-François Kahn via quatre tribunes publiées par Le Monde les 11 et 12 janvier décembre 2019.

Les textes publiés dans cette rubrique s'inscrivent dans le cadre d'un travail pédagogique pluraliste en termes d'idées et sont dépourvus de toute orientation partisane