- VEUILLEZ PRENDRE CONNAISSANCE DES INFORMATIONS SUIVANTES -
- ACTUALITES
Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE) : consultez la présentation vidéo (2 min) des locaux, la brochure de présentation des différentes filières du lycée et les différentes possibilités de logement (voir aussi la page hébergement).
Aide à l'orientation et au choix de spécialités : consultez les liens Orientation/CIO, présentation des spécialités ou spécialités pour une
Diaporama de la réunion du 13 mars 2021(cliquez sur l'image ci-dessus)
CPGE.
Coronavirus COVID-19: FOIRE AUX QUESTIONS (FAQ), mise à jour du 03/04/2021. et Fiche repère EPS COVID Mars 2021.En raison des conditions sanitaires actuelles, chaque élève devra apporter sa solution hydro alcoolique, son masque et ses lunettes de protection et sa blouse en coton pour les sciences expérimentales (PC, SVT). Le port du masque est obligatoire aux abords du lycée. Aussi les élèves et les étudiants doivent-ils le garder lorsqu'ils circulent entre la gare routière et l'entrée principale.
La loi sur la laïcité de 1905 - DGEMC par Valerie Corneloup le 2020-12-08
Kahina Djeddi, Lola Forni, Léna Gaignon, Elijah Gardon, Martin Gibert, Héloïse Goetz et Margaux Harris, élèves de Terminale du groupe DGEMC (Droits et Grands Enjeux du Monde Contemporain) ont travaillé sur les lois fondatrices de la Troisième République, et leurs prolongements contemporains. Ils nous présentent ici la loi du 9 décembre 1905 de la Séparation des Églises et de l'État , communément appelée loi sur la laïcité.
Dispositif du chômage partiel et crise sanitaire par Delphine Taillieufievez le 2020-05-26
Pour tout connaître sur le dispositif du chômage partiel, Katia LOPES ALVES, Adrien MESSAGER et Noéline MOREAU, élèves de TES4 , ont synthétisé les deux articles suivants:
1) La crise du coronavirus génère un préoccupant déficit de l’assurance chômage.
Par Bertrand Bissuel Publié le 22 avril 2020 Le Monde.fr
2) La facture du chômage partiel en France est encore largement sous-estimée.
Par Audrey Tonnelier et Raphaëlle Besse Desmoulières Publié le 23 avril Le Monde.fr
Politiques conjoncturelles et COVID-19 par Valerie Corneloup le 2020-05-26
Pour mieux comprendre les politiques conjoncturelles menées dans le contexte de la crise sanitaire, Louise LANGLADE, Anne PERRET et Héléna PIAU, élèves de TES2, ont synthétisé les quatre articles suivants:
1) Coronavirus : ce qui a déjà été fait et reste à faire pour soutenir l’économie européenne
Par Éric Albert, Publié le 8 avril 2020 Le Monde.fr
2) « Dans la zone euro, le danger est que la crise économique finisse par devenir politique »
Par Éric Albert, Publié le 23 avril 2020 Le Monde.fr
3) Les banques centrales, ultime rempart de l’économie mondiale
Par Éric Albert, Publié le 29 avril 2020 Le Monde .fr
4) La Banque centrale européenne mise sous pression par la Cour constitutionnelle allemande
Par Éric Albert, Publié le 6 mai 2020 Le Monde.fr
Vous trouverez ici leur compte rendu
Conférence Sociétés Coopératives et Participatives par Delphine Taillieufievez le 2019-04-17
Lundi 25 mars 2019, les premières ES1, ES2 et ES4 ont participé à une séance de deux heures sur les Sociétés Coopératives et Participatives (Scop). Cette séance a été animée par Michel PORTA1 (ancien responsable au niveau national de la communication et du lobbying de la Confédération générale des Scop) et Daniel CHEVILLON (ancien dirigeant de la Scop AMB, une Scop du bâtiment).
Au cours de la première heure, les intervenants nous ont présenté les spécificités des Scop.
Une Scop est une forme d’entreprise dont les salariés sont les associés majoritaires (co-entrepreneurs) et détiennent plus de 50 % du capital de l’entreprise dans laquelle ils travaillent. Le pouvoir de décision est aux salariés et chaque personne détient une voix. Les grandes décisions sont donc prises par les salariés comme l’élection du PDG par exemple. Les bénéfices de l’entreprise sont utilisés de trois manières : la « part travail » (environ 45%) ou participation versée à tous les salariés (associés ou non), la « part capital » (environ 10%) ou dividendes versés aux associés et enfin la « part entreprise » (environ 45%) qui correspond aux « réserves impartageables » affectées aux investissements et au développement de l’entreprise. Elles sont aussi là pour les conjonctures plus difficiles. Les propriétaires de Scop sont aussi très fiers d’investir une part importante pour le développement de l’entreprise. Dans les Scop il y a plus de sûreté pour les salariés (pas de risque d’apprendre une délocalisation), l’humain est placé en premier.
Il y a plus de 3000 Scop en France dans laquelle travaillaient plus de 50 000 salariés. La taille moyenne des Scop est de 18 salariés.
En deuxième heure nous avons constitué des groupes de travail afin de répondre aux trois questions suivantes :
1°) Quelles caractéristiques des Scop méritent plus d’explications ?
2°) Pour quelles raisons envisageriez-vous de travailler dans une Scop ?
3°) Pour quelles raisons refuseriez-vous de travailler dans une Scop ?
Les porte-paroles des groupes ont fait le compte rendu à l’oral de notre travail de groupe.
A la suite de nos échanges les intervenants ont apporté des précisions notamment sur la question des salaires dans les Scop. Les écarts de salaires sont moins élevés dans une Scop que dans une entreprise classique. En moyenne les salaires sont plus élevés pour les ouvriers peu qualifiés, mais moins élevés pour les cadres.
Cette conférence fut très enrichissante, c’est un statut d’entreprise que nous ne connaissions pas, et nous avons eu la chance d’échanger avec de vrais professionnels qui utilisaient un vocabulaire parfois un peu compliqué. Pour essayer de nous faire comprendre, ils ont choisi plusieurs exemples, comme celui de la première Scop française ACOME que nous avons pu visualiser grâce à une vidéo. De plus, nous avons apprécié qu’ils nous fassent travailler en groupe, c’était une bonne idée cependant nous aurions aimé un peu plus de temps d’interactivité lors des questions/réponses à la fin de la séance.
Pour finir nous sommes très reconnaissants du temps que nous ont consacré ces professionnels très impliqués dans leur travail. Nous les remercions vivement.
Par Victoria CAZOTTES et Ode GEBUHRER (1ère ES1)
Et Kevin ALVES, Julie PINART, Louise TISSEAU et Nathan WAUQUIER (1ere ES4)
1. M. Porta est co-auteur de l’ouvrage Le Bonheur est dans la Scop ! Un patrimoine d’expériences pour demain.
Delphine Taillieu-Fievez
Visite du CESE par les 1ES1 et 1ES4 par Valerie Corneloup le 2019-02-06
Visite du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) par les 1ES1 et 1ES4
Mardi 11 décembre 2018, les élèves de 1ES1 et 1ES4 se sont rendus au Palais d'Iéna, siège du CESE. Ils ont assisté à l'introduction d'une séance plénière par le Président du CESE, M. Bernasconi, puis ont suivi une visite institutionnelle et architecturale. Ils remercient, avec leurs professeurs, les Conseillers et l'administration du CESE qui leur ont réservé le meilleur accueil.
Visite des 1ères ES au CESE par Alain Guyot le 2018-09-18
VISITE DU CONSEIL ÉCONOMIQUE SOCIAL ET ENVIRONNEMENTAL 22/05/18 |
Le Mardi 22 mai 2018, les élèves du « projet CESE » des classes de 1ère ES1, ES2 et ES3 sont allés visiter le palais d'Iéna à Paris où siège le Conseil Économique Social et Environnemental appelé plus communément CESE.
Masha BRULEFERT et Meije DUMONT ont effectué le compte rendu de cette visite.
I- Visite institutionnelle par Masha BRULEFERT
Le CESE est la 3ème Assemblée de la République après l'Assemblée nationale et le Sénat. Créé en 1925 (supprimé sous le régime de Vichy puis réinstauré après la Libération sous la IVème République), le CESE est une assemblée consultative, son rôle est de « conseiller » et de donner son avis au Parlement et au Gouvernement dans l'élaboration des lois.
Le CESE bien que méconnu est à l’origine de lois telles que : la garantie locative universelle qui permet aux jeunes de moins de 30 ans d’accéder plus facilement à la location d’un logement, la loi de la transition énergétique qui vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre ou encore la création du RMI en 1988 (remplacé depuis par le Revenu de Solidarité Active (RSA) en 2009).
Le CESE est inscrit dans la Constitution, il est alors très compliqué de vouloir supprimer cette assemblée (il faudrait organiser un vote du Congrès et obtenir les 3/4 des votes).
Lors de notre visite, Monsieur SALTO, ancien Conseiller du CESE, nous a présenté l'histoire du CESE ainsi que son fonctionnement.
Le CESE comprend 233 conseillers (hommes et femmes) désignés pour représenter la société civile pour un mandat de 5 ans (renouvelable une seule fois). Elle est la seule assemblée à être « presque » à parité homme/femme avec 46 % de femmes .
Sur les 233 membres, on en compte 140 membres au titre de l'économie et du social, 33 membres au titre de la protection de la nature et de l'environnement et 60 membres au titre de la cohésion sociale et de la vie en société.
On y trouve des chefs d'entreprises, des agriculteurs, des syndicats de salariés ou encore des artisans ou même des associations. On les appelle les conseillers/conseillères. Ainsi le CESE permet à toutes les catégories socioprofessionnelles de dialoguer et de débattre, et les Français sont bien tous représentés dans cette assemblée.
Le CESE est également composé de 18 groupes qui désignent leurs conseillers (avec un nombre limité de conseillers par groupe) dont les syndicats de salariés, les entreprises, l’outremer ou l’artisanat par exemple.
Le CESE va faire l’objet d’une réforme constitutionnelle afin d’augmenter son rôle dans les institutions de la Vème République. Son nom deviendrait « Chambre de la participation citoyenne ».
Le CESE est également connu pour son siège, le Palais d’Iéna dans le XVIème arrondissement de Paris.
Il a été construit en 1937 par l’architecte Auguste Perret.
C’est un bâtiment circulaire donc le matériau principal est le béton, à l’extérieur comme à l’intérieur.
Cette infrastructure est étudiée par plusieurs écoles d’arts car le béton est utilisé d’une manière très artistique.
II- Visite architecturale par Meije DUMONT
Le Palais d’Iéna est un bâtiment situé dans le 16ième arrondissement de Paris sur la colline de Chaillot, entre le Palais de Chaillot, au sommet, et le Palais de Tokyo, en contrebas.
Il est actuellement le siège, en particulier, du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE).
Mais il est, tout d’abord, une œuvre majeure de l’architecture moderne de l’entre-deux-guerres.
Il est surtout l’aboutissement d’une rencontre entre un architecte (Auguste Perret 1874-1954), un lieu (un triangle isocèle sur la colline de Chaillot) et un matériau (le béton armé).
Appelé, dès 1933, pour élaborer le plan d’urbanisme de l’Exposition Universelle -ou Exposition Internationale « des Arts et Techniques appliquées à la Vie Moderne »- de 1937, Auguste Perret voit l’abandon de son projet grandiose de « Champs-Elysées de la rive gauche » entre la place d’Italie et la colline de Chaillot (le Palais de Chaillot sera l’œuvre de trois autres architectes dans les années 1935-1937), à la grande déception de l’architecte et d’artistes et d’intellectuels qui le soutenaient.
Cependant, il obtient deux commandes prestigieuses, le Mobilier National et le Musée des Travaux Publics (Palais d’Iéna). Cette dernière commande va lui permettre de réaliser un rêve : ériger un monument classique en béton armé, pour ‘rivaliser’ avec l’idéal de « perfection esthétique » du Parthénon.
Fils d’entrepreneurs, Auguste Perret, aidé de ses deux frères, a transformé l’entreprise familiale pour leurs expérimentations entièrement dédiées au béton armé. Grâce à la réalisation de projets désormais considérés comme des chefs d’œuvre (immeuble rue Franklin 1903, théâtre des Champs-Elysées 1913, église du Raincy 1923, le Mobilier National 1936) , il inscrit le béton armé dans la tradition de l’architecture moderne.
Pour le Musée des Travaux Publics, l’îlot triangulaire dont il hérite, l’oblige à tourner le dos au Palais de Chaillot et à présenter son entrée sur la place d’Iéna, face au Musée Guimet.
L’architecte met au point un plan de masse ajusté à la configuration de la parcelle : un triangle isocèle dont le sommet sera une rotonde et la base, un arc de cercle.
Un plancher général absorbe la déclivité du terrain. La rotonde, qui abrite l’amphithéâtre où ont lieu les assemblées du CESE, sera prolongée par deux longues salles hypostyles (espace fermé dont le plafond est soutenu par des colonnes, en référence aux temples anciens), aux dimensions colossales et aux larges baies vitrées, reliées par une galerie incurvée.
Partiellement réalisé, le musée, « vaste abri à toutes fins utiles », est inauguré en mars 1939 dans une première aile de l’édifice, parallèle à l’avenue d’Iéna.
La Seconde Guerre Mondiale retarde les travaux et la rotonde ne sera achevée qu’en 1943. Dans le hall, derrière l’hémicycle et ses claustras, un monumental escalier, semblant ne reposer sur rien, à double révolution formant un cœur ou un fer à cheval, dessert les différents niveaux.
La force de l’ensemble résulte de « la distinction, chère à Perret, entre un abri souverain (l’ossature primaire de l’enveloppe) et un ordre secondaire réglant la distribution intérieure ».
Quant au revêtement de l’ensemble, « le béton se suffit à lui-même ». Pas de peinture, seulement des matériaux ‘aux subtils accords chromatiques’, faits de porphyre vert et de marbre rose.
Après la fermeture du musée et la disparition de l’Assemblée de l’Union Française, le palais abritera le Conseil Economique et Social (ancêtre du CESE) dès 1959.
En 1960, l’architecte Paul Vimond, élève d'Auguste Perret, lance les travaux de la seconde aile du palais d'Iéna, le long de l'avenue du Président-Wilson.
Celle de l'avenue Albert-de-Mun, base du triangle, a été réalisée en 1995, par Gilles Bouchez, à l'issue d'un concours.
Les élèves du Lycée, ainsi que leurs professeurs de SES, Mesdames CORNELOUP et TAILLIEU-FIEVEZ, remercient Madame MALLET et Monsieur SALTO pour leur chaleureux accueil.
Conférence Scop par Mme Bedira le 2018-07-02
Jeudi 5 avril 2018, les premières ES2 et ES3 ont participé à une séance de deux heures sur les sociétés coopératives et participative (Scop). Cette séance a été animée par Michel PORTA * (ancien responsable au niveau national de la communication et du lobbying de la Confédération générale des Scop) et Daniel CHEVILLON (ancien dirigeant de la Scop AMB, une Scop du bâtiment).
Déroulé de l'intervention :
13 h 20 - 13 h 30 : Brève introduction "Pourquoi s'intéresser aux Scop?" et présentation du déroulé et des intervenants.
13 h 30 - 13 h 40 : L'originalité des grands principes de l'entreprise Scop et sa valeur ajoutée, avec la vidéo d'animation "La Scop, c'est quoi ?" et l'exemple du Groupe Up (autour du Chèque Déjeuner).
13 h 40 - 13 h 55 : Le vécu d'une gouvernance d'entreprise, performante car humaine, avec les deux vidéos "Témoignages - Ils en parlent", et "Macoretz, ceux qui aiment le lundi" avec la vidéo de la Scop Macoretz, une entreprise de construction en Pays de Loire.
13 h 55 - 14 h 10 : L'impératif d'un management moderne intégrant l'information et la formation des salariés, avec la vidéo "Des entreprises faites pour ce siècle" et notamment l'exemple de la Scop Alma, une entreprise de Rhône-Alpe spécialisée dans les logiciels industriels avec sa dirigeante Laurence Ruffin.
14 h 15 - 14 h 25 : Formation de 6 groupes de discussion sur les Atouts et Faiblesses de l'entreprise Scop et désignation des élèves rapporteurs.
14 h 25 - 14 h 40 : Travail des élèves en groupe.
14 h 40 - 14 h 55 : Restitution des groupes sous la forme de synthèse-flash de 2 mn.
14 h 55 - 15 h 10 : Réponses des intervenants.
15 h 10 - 15 h 20 : Conclusion sur Le devenir de l'entrepreneuriat Scop.
Le Lycée remercie chaleureusement les deux intervenants pour ces échanges fructueux.
Delphine TAILLIEU-FIEVEZ
Fanny SAULNIER
* M.Porta est co-auteur de l'ouvrage Le Bonheur est dans la Scop ! Un patrimoine d'expériences pour demain.
"SUR LE CHEMIN DE L'ECOLE" de Pascal Plisson par La direction le 2014-11-27
Les élèves du groupe de Seconde PFEG, résument le documentaire "SUR LE CHEMIN DE L’ECOLE" de Pascal Plisson
jeudi 22 mai 2014 par Valérie Corneloup
Résumé de " SUR LE CHEMIN DE L’ECOLE", César 2014 du meilleur film documentaire.
" Sur le chemin de l’école", ce documentaire de Pascal Plisson de près de 1h15, ayant obtenu le César 2014 du meilleur film documentaire, montre les différences de scolarisation dans plusieurs pays du monde ( Inde, Argentine, Maroc, Kenya). Quatre enfants sont suivis durant leurs parcours souvent très difficiles pour se rendre à l’école.
Le livre " Sur le chemin de l’école " de Marie-Claire Javoy, scénariste du film, paru chez
l’Editeur, complète le film par des fiches synthétiques sur les systèmes éducatifs des pays traversés.
Documents joints
Sur le chemin de l’école (PDF – 213.1 ko)
"INSIDE JOB" de Charles Ferguson par La direction le 2014-11-27
Les élèves du groupe de Seconde PFEG, résument le documentaire "INSIDE JOB" de Charles Ferguson
mardi 29 avril 2014 par Valérie Corneloup
Résumé de "Inside Job", Oscar 2011 du meilleur film documentaire
Ce film de près de deux heures, nous explique avec brio et simplicité à la fois, les mécanismes qui ont plongé l’économie mondiale dans la tourmente ; les origines et les conséquences de la crise des subprimes ; ou comment une crise immobilière se transforme en crise bancaire et financière pour ensuite affecter tous les rouages de l’économie réelle.
Documents joints
Inside Job (PDF – 151.6 ko)
Séance publique à l'Assemblée nationale 29.01.14 par La direction le 2014-11-27
Les élèves de Terminale Culture générale se rendront à l’Assemblée nationale le mercredi 29 janvier.
L’une des missions de l’Assemblée nationale est d’évaluer les effets des lois votées. C’est l’occasion pour les députés de faire le point sur l’action menée par l’Etat, dans un domaine particulier, et de suggérer des mesures d’amélioration. C’est dans le domaine de l’emploi que les Terminales de Culture générale assisteront mercredi 29 janvier aux débats sur les effets de la loi du 14 juin 2013 sur la sécurisation de l’emploi.
La séance se déroulera Salle Lamartine, dans un cadre plus restreint qu’il est intéressant de découvrir, que l’habituel hémicycle.
Documents joints
Document (PDF – 56.1 ko)
Un an après Mireille Delmas-Marty et Rémi Brague (voir articles plus bas), l'académicien, ancien médecin et ministre de la santé Jean-François MATTEI s'est à son tour prêté à l'exercice de l'entretien distanciel dans la foulée de son exposé "Quand l'opposition aux faits médicaux et scientifiques devient déraisonnable" (texte intégral ici). Spectateurs "visio" privilégiés de la conférence prononcée à huis-clos le 15 mars 2021, quatre élèves PSP de Première ont ainsi adressé à Monsieur MATTEI dix questions-réponses écrites (échange intégral ici), dans le cadre de notre nouvelle candidature au concours "Graine d'Académie 2021" de l'Académie des Sciences Morales et Politiques.
Le lycée remercie chaleureusement Monsieur MATTEI pour le temps consacré et la clarté de ses réponses, ainsi que Marianne Tomi pour son interface comme toujours indispensable.
"Notre plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de savoir nous relever chaque fois que nous tombons"... Deux mois après les éliminatoires F1 du 27 janvier (voir article plus bas), c'est à Paris au lycée Erik Satie (14ème) samedi 3 avril 2021 que s'est tenue comme prévu la finale francilienne... à quelques heures de l'entrée en vigueur du nouveau confinement! Nos quatre qualifiés (Jules Borgetto, Valentin Grangier, Noane Hadrot et Anaïs Roger) ont à nouveau brillé et défendu avec la même force de conviction leur libre interprétation des mots de Confucius:
-Premier Prix (et 400€): Noane HADROT (Première 4)
-Troisième Prix (et 200€): Anaïs ROGER (Première 4)
Le lycée conserve donc son titre! Alexandre Foumangoye (voir autre article plus bas) avait lui-même remporté la dernière édition 2020 le 3 octobre. Les garçons de l'édition 2021 n'ont eux non plus pas démérité (quatrième place pour Valentin, cinquième pour Jules).
Noane doit défendre les couleurs de l'Ile-de-France lors de la finale nationale en mai.
Bravo à elles et eux, et tous avec Noane pour le titre national!
Vendredi nous sommes allés voir si tout allait bien et avons pu constater que les abeilles s'étaient bien adaptées. Nous les avons un peu nourries en prévision de la semaine de froid à venir... ensuite elles devraient se débrouiller toutes seules. Prochaine étape : installation dans une vraie ruche.
En photos quelques moments riches de cette rencontre:
A bientôt au mois de mai pour l'échange retour à Constance, du 11 au 20 mai 2020.
Du 15 au 24 mai, 14 élèves de secondes ont participé à la 43ème édition de l'échange avec le lycée Humboldt de Constance. Cette année aussi, le séjour fut placé sous le signe de la bonne humeur grâce à l'hospitalité et à la disponibilité de nos hôtes.
Merci à Sébastien, Chloé et Enora de nous faire partager leur récit de voyage et leurs impressions!
SEJOUR à CONSTANCE
Jours 1 et 2
Le mercredi 15 mai, nous sommes arrivés à Constance vers 17h et nous avons retrouvé nos correspondants. Le lendemain, nos partenaires d’échange nous ont accompagnés au lycée Humboldt. Nous avons ensuite rencontré un des professeurs de l’école, Monsieur Rieth, ainsi que le proviseur, Monsieur Kaz, qui nous ont présenté le système scolaire allemand. Les différences avec la France sont nombreuses, notamment pour les niveaux de classe. Par exemple, le collège et le lycée sont regroupés dans un même établissement. De plus, les élèves terminent leur journée plus tôt (15h maximum). Ils ont en revanche des vacances plus courtes. Dans leur école, ils ont la possibilité d’apprendre 4 langues: l’anglais, le latin, le français, l’italien.
Avant de partir à la découverte de la ville de Constance, nous avons fait un rallye au sein de l’établissement pour nous familiariser avec le lycée et mieux nous y repérer. Le lycée Humboldt est certes plus ramassé que le lycée François 1er, mais on a vite fait de s'y perdre. Premier bain linguistique: par équipes de deux ou trois, nous avons posé des questions - en allemand bien sûr - aux élèves et aux professeurs que nous rencontrions pour obtenir des informations et répondre ainsi au questionnaire.
Nous nous sommes ensuite rendus à pied dans le centre de Constance, qui n'est pas loin du lycée. Nous nous sommes transformés en guides touristiques et avons présenté à tour de rôle le monument sur lequel nous avions fait quelques recherches au préalable.
Monsieur Rieth nous a ensuite conduits au sommet de la cathédrale - 250 marches - et de là, nous pouvions jouir d'une vue à 360° sur Constance , le lac (der Bodensee en allemand) et ses alentours. Nous avons retrouvé nos correspondants à 13h pour déjeuner avant de prendre le bac (die Fähre) pour aller à l’église de Birnau. C’est une église baroque aux couleurs roses, et aux nombreux détails blancs, nacrés ou dorés.
Jour 3
Le matin, nous sommes allés en cours avec nos correspondants. En première heure, certains d’entre nous ont assisté à un cours de NwT (Naturwissenschaft und Technik), une matière qui s’apparente à la technologie. Ce jour-là, les correspondants qui avaient NwT devaient poursuivre la fabrication d' un robot. Ensuite, nous sommes allés en sport, au programme il y avait volley ball. Durant le cours de sport, les garçons et les filles sont séparés, il y a deux professeurs différents. Ensuite, comme certains des correspondants avaient un contrôle de mathématiques, nous avons changé de classe et nous nous sommes retrouvés dans un cours de littérature. Bien trop difficile pour nous, mais on a pu en revanche remarquer que les élèves participaient beaucoup et n'hésitaient pas à donner leur avis. L’après-midi, nous sommes allés au complexe sportif pour faire du canoë sur le Rhin. Nous étions en général 4 dans un bateau, il faisait très beau, ce fut un moment très agréable et très apprécié de tous.
Jours 4 et 5
Pendant le week-end, nous n’avons pas tous fait la même chose, nous étions dans nos familles d'accueil respectives. Certains sont allés à Stuttgart, la capitale du Land Bade-Wurtemberg pour visiter un musée d'art (die Staatsgalerie). D'autres sont restés à Constance et ont visité des musées dans les environs. Le dimanche, certains sont allés faire de l’accrobranche (der Kletterwald) tandis que d’autres ont visité l’île aux fleurs de Mainau (voir jour 8).
Jour 6
Lundi 20 mai, à 8h00, nous nous sommes retrouvés au port de Constance (der Hafen) pour prendre le "Katamaran" et aller à Friedrichshafen sité de l'autre côté du lac. C'est un bateau très rapide qui permet de rejoindre Friedrichshafen en 50 minutes. La ville est connue pour son musée consacré aux machines et aux dirigeables, le musée Zeppelin du nom du comte Zeppelin, l'inventeur du dirigeable (der Zeppelin). Les ballons dirigeables qui ont volé pendant une partie du 20ème siècle étaient entre autres fabriqués à Friedrichshafen. Le plus grand d’entre eux était le "Hindenburg". C'était le plus grand dirigeable commercial, il faisait 245 mètres de long et était affecté sur la ligne régulière Europe - Etats-Unis entre Friedrichshafen et New-York. Le problème avec les ballons dirigeables à l’époque était qu’ils volaient à l’hydrogène, qui est un gaz hautement inflammable. Un jour, il y a eu un accident. Le ballon dirigeable s’est embrasé en 30 secondes, mais il y a quand-même eu des survivants. A l'époque, un trajet en ballon dirigeable coûtait extrêmement cher, environ 7000€, seule un petite frange de la population y avait donc accès. Au printemps et en été, on aperçoit souvent des dirigeables dans le ciel de constance. C'est signe de beau temps. Voler en dirigeable, aujourd'hui, c'est possible! Si vous avez envie de changer de point de vue, embarquez sur le Zeppelin NT, la demi-heure vous en coûtera 250 euros. Après la visite du musée, nous avons eu quartier libre dans la petite ville de Friedrichshafen, puis avons repris le "Katamaran" pour rentrer à Constance et avons passé l'après-midi avec notre correspondant.
Jour 7
Aujourd'hui mardi, nous avons pris le flixbus avec nos correspondants pour aller à Fribourg-en-Brisgau (Freiburg im Breisgau) en passant par la Forêt Noire (der Schwarzwald). Nous sommes donc arrivés à la gare routière, puis nous nous sommes dirigés vers l’hôtel de ville où nous attendait notre guide pour la visite de la ville. Elle nous a expliqué l'origine et l'histoire de Fribourg, elle nous a raconté que Fribourg est une ville jumelée avec plusieurs villes étrangères comme en France Besançon. Fribourg a été et est toujours une ville universitaire, même si au départ l’enseignement était uniquement réservé aux garçons. A l'époque, on pouvait y faire des études de théologie, de philosophie etc… . Fribourg est également une ville très commerçante et très animée, notamment grâce à son marché quotidien situé autour de la cathédrale (das Münster). Beaucoup d'artisanat, notamment des jouets en bois, et aussi de nombreux producteurs locaux qui viennent vendre leurs produits en circuit court. Fribourg est une ville très agréable où coulent les "Bächle", ces petits ruisseaux, emblèmes de la ville, qui lui donnent de la fraîcheur en été, mais ce jour-là, il a plu toute la journée. Pas de chance. Après la visite de la ville et un moment de quartier libre, nous sommes retournés au flixbus pour rentrer à Constance, contents, mais fatigués par cette longue journée.
Jour 8
Ce mercredi, nous nous sommes rendus en bus sur l'île de Mainau, accessible grâce à un pont ou par bateau. Notre guide nous y attendait pour nous faire découvrir l'île, qui appartient à la famille royale de Suède, les Bernadotte. Nous avons commencé par la magnifique allée de séquoias. Ils ne sont pas très vieux. Aussi ils ne sont pas aussi gigantesques que ceux de Californie, mais ces séquoias sont tout de même très, très grands. La guide nous a ensuite emmenés sur le site du jardin thématique où les élèves d'un lycée horticole des environs laissent libre cours à leur inspiration et donnent corps tous les ans au thème imposé de l'année en faisant des compositions minérales et végétales. Cette année, le thème était le réchauffement de la planète. La nature devient art. Mais au-delà de l'oeuvre artistiqe, il est intéressant de voir comment ces élèves sont parvenus à faire passer leur message et à sensibliser les spectateurs que nous sommes. L'île de Mainau est appelée l'île aux fleurs (die Blumeninsel). Il y en a partout, elles sont plus belles les unes que les autres. Nous étions sans cesse en admiration devant de grands parterres de fleurs de toutes les couleurs, devant les escaliers italiens ou encore la serre aux papillons et aux plantes tropicales. C'est vraiment une île magnifique où l'on peut passer des heures sans se lasser.
Jour 9
Nous sommes allés en bus à l’université de Constance qui se situe sur les hauteurs de la ville à la lisière de la forêt. On y jouit d'une belle vue sur le lac de Constance. L'université de Constance a plusieurs particularités; Tout d'abord du point de vue architectural: la luminosité y est très importante. Le toit du hall principal par exemple est composé de nombreux polyèdres en verre multicolore si bien que lorsqu'il y a du soleil, les couleurs se projettent sur le sol en une multitude de petits points colorés. Une autre particularité est la crèche où les étudiants ainsi que le personnel de l’université peuvent déposer leur enfant le matin et le récupérer dans l'après-midi. Il y a effectivement de nombreux étudiants chercheurs allemands et étrangers, qui ont déjà une famille et qui apprécient cette opportunité. Enfin, la bibliothèque. Elle est immense, elle s'étend sur tout le sous-sol de l'université, mais elle reste très lumineuse car des puits de lumière en forme de gros hublots permettent à la lumière du jour de s'y engouffrer. Ce qui nous a frappés, c'est que la bibliothèque de l'université est ouverte 24h sur 24h, 7 jours sur 7. Les étudiants peuvent y avoir accès à tout moment et selon les dires de notre guide étudiante, il n'est pas rare de rencontrer des étudiants au beau milieu de la nuit. Dans cette grande université, qui compte plus de 10 000 étudiants, toutes les filières sont représentées, à l'exception de la médecine. Depuis plus d'une dizaine d'années, elle a acquis le statut d'Université d'excellence qui consacre un haut niveau de recherche scientifique.
A la fin de la visite, nos correspondants sont venus nous rejoindre et ensemble, nous avons organisé avec nos professeurs allemands et français un barbecue dans la forêt. C'était une façon bien agréable de passer du temps tous ensemble avant de nous dire au revoir car le lendemain, c'était déjà le retour en France, via Zürich cette fois-ci.
Nous avons passé 10 jours riches en expériences et découvertes linguistiques, culturelles, sportives dans un environnement naturel de toute beauté et espérons garder des relations avec nos correspondants et - pourquoi pas - poursuivre un jour nos études à l'Université de Constance.
"Le réchauffement climatique et la transition énergétique sont les deux grands défis auxquels notre civilisation doit faire face actuellement. Trouver des modèles plus soutenables de production et de consommation d’énergie n’est pas uniquement souhaitable mais nécessaire. Mais à quoi pourrait ressembler un monde sans voiture à essence ? Comment vivrait-on si l’urbanisme était repensé pour s’intégrer à la nature ? Va-t-on connaitre un exode urbain ? Demain, la vie de la société sera-t-elle plus décentralisée, organisée à un niveau local ?
Autant de questions que nous nous posons et auxquelles nous aimerions proposer une réponse. Et pour imaginer le futur, quoi de mieux que la littérature ? Partir du présent pour inventer notre vie de demain. C’est tout l’enjeu de ce concours de nouvelles, qui invite les participant·e·s à imaginer 2070, ouvrir la fenêtre, observer et mettre en mots un monde qui reste à construire."
Telle est la consigne du concours de nouvelles d'anticipation Maddyness-ENGIE 2021.
Héloïse GOETZ (Terminale 3 SEA) a ainsi soumis au jury ces VINGT-QUATRE HEURES DE LA VIE D'UN HOMME NON ESSENTIEL (suivre ce lien).
Bonne lecture!
Cent soixante-neuvième contribution PSP#Controverses: de quoi le giscardisme est-il le nom? Le décès de Valéry Giscard d'Estaing le 2 décembre 2020, à 94 ans, a invité analystes et politiques de toutes générations à se pencher sur un septennat unique - VGE fut battu par François Mitterrand en 1981, sept ans après avoir défait ce dernier contre toute attente dans ce qui demeure le score le plus serré d'un deuxième tour d'élection présidentielle - mais riche en innovations toujours d'actualité. Orléanisme du dernier quart du vingtième siècle, pour reprendre la thèse de René Rémond, le giscardisme n'est-il pas également, par certains aspects, le finalement pas si lointain parent du macronisme?
Jules MATHELOT (Première 6) rend ici compte de l'échange à distance sur ce sujet entre l'universitaire et historien Mathias Bernard, l'ancienne ministre Monique Pelletier et la sociologue Cégolène Frisque via trois tribunes publiées par Le Monde le 9 décembre 2020.
Les textes publiés dans cette rubrique s'inscrivent dans le cadre d'un travail pédagogique pluraliste en termes d'idées et sont dépourvus de toute orientation partisane